mercredi 10 août 2016

Étude suédoise : les « mariés » de même sexe sont trois fois plus susceptibles de commettre un suicide

Même dans la Suède très ouverte sur l'homosexualité, les homosexuels mariés ont trois fois plus de risque de se suicider que les autres personnes mariés. Tel est le résultat d’une étude publiée en mai dans l’European Journal of Epidemiology.

Les auteurs de l’étude ont noté que l’intolérance sociale au comportement homosexuel ne saurait expliquer facilement ce résultat, la Suède étant connue pour son acceptation de l’homosexualité. « Même dans un pays comparativement tolérant envers l’homosexualité comme la Suède, les personnes qui forment des couples homosexuels mariés encourent un risque plus élevé de suicide que celles mariés dans des unions hétérosexuelles », notent les auteurs de l’étude.

L’étude sur le suicide a porté sur plus de 6.000 couples mariés homosexuels en Suède

Intitulée « Le suicide chez les couples mariés en Suède : le risque est-il plus grand au sein des couples de même sexe ? », l’étude a utilisé les banques de données détaillées du gouvernement suédois pour comparer plus de six mille couples homosexuels (n = 6.456) aux couples hétérosexuels du pays (n = 1.181.723). Elle s'est penchée sur tous les couples mariés entre 1996 et 2009 et les a suivi jusqu’en 2011 pour ce qui a trait au suicide.

Ces recherches ont montré que le risque de suicide était dans l’ensemble 2,7 fois plus élevé chez les couples homosexuels, avec un intervalle de confiance à 95 % compris entre 1,5 et 4,8. Le risque est plus élevé chez les hommes (2,9) que chez les femmes (2,5).

Des risques élevés de pathologies diverses constatés dans les milieux homosexuels

Les résultats de ces études sont similaires à ceux de nombreuses autres recherches effectuées ces dernières années et qui ont constaté une forte corrélation entre le comportement homosexuel et un éventail de conséquences psychologiques négatives, y compris dans des pays connus pour leur forte acceptation du comportement homosexuel.

Celles qui ont été menées aux Pays-Bas, pays également tolérant en matière d’homosexualité, ont constaté que les homosexuels, mariés ou non, souffrent de taux significativement plus élevés de troubles de l’humeur, d’anxiété, de toxicomanie, de risque de se suicider, de troubles alimentaires et de crises d’angoisse.

Le comportement des homosexuels, qui se caractérise souvent des niveaux élevés de promiscuité et d’instabilité dans leurs relations interpersonnelles, se traduit par des taux d’infection par le VIH de 10 à 20 % dans les zones urbaines, ainsi que des risques élevés de contracter un herpès, le virus cancérigène d’Epstein-Barr, la syphilis, un cancer anal et d’autres pathologies.

Le programme d'éducation à la sexualité sexualité se lamente que certains ados redeviennent hétéros par pression sociale

Le programme du Monopole se lamente également que les jeunes qui sont ouverts et « flexibles » au niveau de l’identité sexuelle sont ramenés par la pression sociale « grandissante » à des rôles et identités stéréotypées « traditionnels » et « nuisibles » (voir ici). Rappelons que selon une étude, environ 70 % des ados qui se disaient LGBT se déclarent hétérosexuels par la suite

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Cour suprême — « toutes les déclarations véridiques » ne doivent pas « être à l’abri de toute restriction » (quand on rappelle des faits peu plaisants de manière trop virulente pour les juges le long de l'Outaouais).

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